Qualité et Small Apps

La qualité a depuis longtemps débordé des activités de production pour concerner tous les secteurs d’activité (service, public, bancaire…) et toutes les fonctions dans les entreprises (production, RH…).

Elle englobe plusieurs problématiques : documentation (des produits, processus, activités …), contrôle qualité, traçabilité, gestion des incidents, amélioration continue, etc.

Son pilotage amène aussi à la gestion de plans d’actions, d’indicateurs, d’audits.

D’évidence, ces activités s’outillent et se structurent avec de l’informatique.

Il existe aujourd’hui des progiciels et des modules qualité dans la plupart des ERP, interfacés avec les modules de production – fabrication, de gestion des stocks etc.

Ces produits répondent à l’essentiel des besoins et leur intégration dans l’ERP de l’entreprise garantit la pertinence des informations et des indicateurs produits.

Pour autant, comme dans la plupart des activités de l’entreprise, il existe toujours des problématiques spécifiques et/ou locales qui n’ont pas à être intégrées dans un ERP (ratio coût / valeur).

Les Small Apps permettent d’apporter une réponse customisée à ces besoins, souvent spécifiques à un type de production ou à une activité de l’entreprise, tout en restant dans des coûts raisonnables.

Cela est d’autant plus pertinent, lorsqu’on s’inscrit dans une approche progressive : livrer rapidement un outil simple, le faire exploiter par les utilisateurs et l’enrichir ensuite à partir de retours d’expérience concrets.

Dans l’histoire de Désirade, nous avons connu nombre de ces problématiques particulières, qui ont amené au développement d’une « Small App ».

  • Gestion des rebuts et taux de rebuts, gestion des non conformités (industrie).
  • Gestion d’incidents, de non conformités (industrie).
  • Traçabilité (industrie, chimie, pharmacie)
  • Contrôle qualité des approvisionnements, évaluation de la qualité des fournisseurs (Industrie)
  • Aide à la vérification de mesures (Pharmacie)
  • Gestion de Plans de sécurité et de protection (entreprises de chantier)
  • Contrat d’amélioration de la qualité et efficience des soins (Santé)

Nous en avons développé certaines « from scratch », mais nous avons aussi beaucoup webisé d’excelleries sur ces sujets. Effectivement, ces outils qualité, de plus en plus, doivent être des outils partagés, dans l’entreprise et même au-delà (fournisseurs, clients, organes de contrôle).

En résumé, le spécifique est pertinent s’il donne lieu à des développements maîtrisés (approche progressive), dans des solutions modernes (web, mobile) et intégrables (API), qui permettent le partage et la collaboration sur des données fiables.

Ces propos sont confortés par les deux témoignages suivants :

GDI (Gestion Des Incidents) : témoignage de D.SCATTOLON, Group leader in Qualification Lab.

Contrôle journalier des trieuses : témoignage de A.FAVIER, Ingénieur Qualité.

Collectivités et Small Apps

Les collectivités territoriales n’ont pas un seul « métier », mais des missions diverses à assurer. La plupart sont clairement définies :

  • Communes : écoles, urbanisme, logement, …
  • Départements : action sociale, routes, collèges etc.
  • Régions : économie, formation professionnelle, lycées etc.

D’autres sont plus liées à leur territoire : la région Occitanie opère le port maritime et les ponts de Sète, le département 31 s’occupe de la forêt de Buzet, etc.

Il en découle de multiples dispositifs à gérer. Avec la transition numérique qui combine possibilités technologiques et demandes des utilisateurs (générations Y, Millenials), ces dispositifs doivent être digitalisés. La dématérialisation répond en partie à ces besoins.

Un autre enjeu est la communication, la concertation avec les citoyens, qui se matérialise souvent à travers les media informatiques.

Bien sûr, les Systèmes d’Information de nos collectivités sont structurés autour de grands ensembles logiciels : gestion des aides et subventions, gestion financière, GRH, etc.

Mais ils doivent aussi traiter de nombreux sujets plus petits. Certains de ces sujets peuvent l’être par des progiciels, des environnements de travail collaboratif, voire du Low Code / No Code. Et les besoins non traités par la DSI, le seront alors en Shadow IT.

Certains sujets sont très spécifiques ou urgents (demande des élus, gestion de crise). Pour ces cas, l’activité Small Apps apporte une réponse efficace en combinant :

  • Implication dans les métiers, capitalisation avec des acteurs dédiés et stables (référent client)
  • Développement industrialisé d’applications « sur mesure », à partir de composants réutilisables et de toolkits.

Les Small Apps constituent ainsi un outil pour répondre aux multiples besoins locaux, spécifiques, urgents qui sont inhérents aux collectivités.

Organiser une telle activité dans la collectivité, c’est aussi :

  • Diminuer le Shadow IT,
  • Organiser l’urbanisation et la rationalisation de ces petits outils (éviter la prolifération d’outils faisant la même chose)

Cette vision s’appuie sur des années de collaboration avec le CD 31, le CD 42, la Mairie de Colomiers, les régions Occitanie et Auvergne-Rhône-Alpes …

Elle est confortée par les 2 témoignages projets ci-dessous :

  • Le projet Ponts Mobiles de Sète : témoignage de C. BESSON Chef de projet à la DSIUN de la Région Occitanie – LIRE
  • Le projet « Commandes de Vaccins » : témoignage de V. VALLA, chargée de projet à la DSI du département de la Loire – LIRE

 

Experts Métier et Small Apps

Nos clients font souvent appel aux Small Apps en réponse à des besoins métier très spécifiques, pour lesquels ils ne trouvent pas de progiciel.

Cela donne l’occasion à nos chefs de projet, de découvrir de nouveaux sujets, des cultures d’entreprise diverses :

  • Gestion des arrêts quinquennaux d’une usine chimique,
  • Contrôle de la tenue des délais par mes sous-traitants structurants
  • Simulation de la masse salariale dans les transports urbains (lignes ouvertes, rotations, etc.)

Nous plongeons alors dans le métier de nos clients et imaginons – prototypons avec eux des solutions adaptées à leur métier, à leurs modes opératoires.

Cette implication dans le métier client est fondamentale pour nous ; aussi lorsque c’est très pointu, nous sollicitons un consultant métier externe. Il apporte sa pertinence, sa capacité à proposer, au-delà d’un cahier des charges classique.

Inversement, nous sommes aussi régulièrement sollicités par des experts métier pour les aider à outiller leurs préconisations avec des applications ergonomiques.

Nous collaborons alors en trio :

  • Le client pour expliquer ses problématiques et valider nos prototypes, nos propositions.
  • Le consultant métier, pour imaginer des organisations et des outils améliorant la performance du client
  • Désirade pour concevoir ces outils, avec un focus sur l’ergonomie et le design, mais aussi pour industrialiser et maintenir.

Chacun dans son rôle, mais tous ensemble pour construire la meilleure solution possible.

L’état d’esprit de collaboration et de respect mutuel rend ces missions très enrichissantes pour tous.

Côté client : depuis l’idée jusqu’à son outil, maintenu dans la durée.
Côté expert et Désirade : la construction d’un partenariat reproductible sur les métiers analogues.

C’est ce que nous pratiquons depuis plusieurs années avec notre expert ferroviaire Marc Thiebault.

 

Retrouvez son témoignage, accompagné de P. Chauby pour OPERE, filiale d’EIFFAGE. Nous avons collaboré sur la maintenance de la LGV Le Mans – Rennes. – LIRE

Ainsi que le témoignage de N. Bérat pour FORIZONS, société de conseil spécialisée Supply Chain et Transformation Digitale qui relate notre collaboration sur plusieurs sujets Supply Chain. LIRE

 

Small Apps et … DSI à temps partagé

Nous collaborons depuis quelques années avec des « DSI à temps partagés  ».

Auparavant nous avions ce cliché du DSI qui se partage entre plusieurs PME et qui gère l’infrastructure, l’exploitation…

Tout cela a bien changé. Non pas qu’ils aient abandonné l’infra : il y a toujours à faire sur ces sujets, avec les enjeux de sécurité, le RGPD, sans parler du télétravail.

Ils ont bien compris que cela est nécessaire, mais que ça ne suffit plus. Il faut dépasser la technique, aller vers les métiers pour que l’informatique devienne un vrai levier de progrès.

Et c’est bien sur ces deux axes qu’ils font parfois appel à notre expertise « Small Apps » :

  • Fiabiliser, professionnaliser des outils métier, précieux mais fragiles (peu documentés, non maintenus …)
  • Mettre en œuvre leurs préconisations de progrès sur des sujets spécifiques :
    • Rendre plus collaboratifs tels outils de décision (plan de charge, Prévisionnel de production, suivi fournisseurs …)
    • Dématérialiser (cartes de travail, colisage, inventaires …)
    • Capitaliser (BDD de retours d’expérience, FAQ, pour capitaliser sur des problèmes/solutions)

Cela démarre souvent par le premier type d’activité (« faire marcher » un existant), ça vient ensuite sur le deuxième : ces petits outils pratiques et efficaces (vs. ERP), qui matérialisent une « transformation digitale de proximité ».

En collaborant avec ces DSI à temps partagé, nous réalisons que nous partageons quelques points forts :

  • La volonté de construire une relation de confiance, de proximité avec nos clients. Chez nous, c’est un choix d’organisation ; pour eux, c’est nécessaire. Pour faire de l’informatique un levier de la stratégie de l’entreprise, le partenaire DSI doit construire la confiance avec son client.
  • La notion d’équipe : nous la cultivons à Désirade pour que le client ne soit pas dépendant de tel ou tel développeur ; ils font de même, à la fois pour offrir cette capacité de backup, mais aussi pour répondre à tous types de problèmes : il est vrai qu’une PME est confrontée à la même diversité de problèmes informatiques qu’une grande entreprise.
  • Le besoin de concilier pragmatisme et professionnalisme : Les budgets d’une PME ne sont pas ceux des grandes entreprises ; il faut souvent « faire autant ou plus, avec moins », sans sacrifier la qualité. Collaborer avec ces entreprises nécessite de l’écoute, de l’imagination, de la capacité à sortir du cadre. La bonne nouvelle, c’est qu’eux aussi, sont souvent plus souples, moins coincés dans des process.

Ces valeurs communes, nous permettent de nous comprendre rapidement et de mener des coopérations complémentaires et efficaces, enrichissantes pour tous.

 

Ces propos sont illustrés par les témoignages de :

  • T. Cassard – C2IP “L’esprit connecté” – LIRE
  • G. De Préneuf & E. Tiberi – DEUZZI, “La DSI cousue main” LIRE

 

Small Apps et … KPI

Lorsqu’on parle de KPI, d’indicateurs, on pense décisionnel, dataviz, voire Big Data, IA … Ces technologies permettent des traitements sophistiqués de nos données.

Pour autant, elles nécessitent des infrastructures et le respect de règles : adduction de données, entrepôts, sécurité, confidentialité …

De tels investissements ont du sens au niveau global de l’entreprise, afin de permettre une exploitation fiable et performante des data. La contrepartie est la lourdeur de mise en œuvre.

À l’autre bout du spectre, Excel résiste. Nombre de tableaux croisés dynamiques alimentent les décisions locales à un métier, un service.

Il est vrai que nos décisions quotidiennes n’ont pas toujours besoin d’analyses sophistiquées.

Excel est le standard simple et connu de tous. C’est son avantage, même par rapport à des outils analogues plus récents. En revanche, il ne permet pas la collaboration et il entraîne souvent une boulimie de programmation qui rend ces fichiers peu maintenables, voire peu fiables…

Dans cet univers, les Small Apps ont aussi un rôle à jouer. Elles permettent de développer du reporting, sur mesure, customizé :

  • Au besoin d’alimentation ou d’enrichissement de données
  • Au besoin d’affichage (sur un grand écran, cartographique, …)
  • À l’intention sous-jacente (performance, esprit d’équipe, culture d’entreprise, …)

Ces web Small Apps favorisent la collaboration, notamment sur la mise à jour des données. Structurées autour d’une base de données, elles constituent aussi des sources de données fiables pour l’écosystème data de l’entreprise.

C’est d’ailleurs un argument pour migrer certains tableaux Excel en Small Apps : rendre leurs données visibles et exploitables.

Nous développons aussi des pages « Dashboard » dans nos Small Apps de gestion. Il s’agit ici de donner aux métiers un premier niveau de pilotage de leur activité. Les données restant disponibles pour l’entrepôt de données, que ce soit pour des consolidations ou des analyses plus fines.

Pour illustrer ce propos, nous avons retenu deux références clients.

 

Retrouvez les témoignages ici !

  • T. Français – THALES ALENIA SPACE LIRE

Projet Dashboard : outiller le processus d’élaboration et mise à jour des KPI d’une grande société.

  • J-M. Doche – POMOCA LIRE

Projet KPI : gérer et afficher les indicateurs de productivité d’un atelier, dans le but d’impliquer/responsabiliser les collaborateurs à la performance collective de cette PME, leader mondial des peaux de phoque pour skis de randonnée.

 

Small Apps et … Proximité DSI – Utilisateurs

Cette année est compliquée pour tous et notamment les DSI. Mobilisés pour les Plans de Continuité d’Activité, de Reprise d’Activité et le retour au télétravail cet automne, ils ont été challengés, ont réussi à passer les difficultés et continuent à tenir la barre dans ces temps incertains.

Les urgences étant passées, les projets ambitieux sont freinés voire arrêtés, par manque de budget, de visibilité ou de changements de priorité… et il faut s’y habituer pour quelques mois encore.

Alors, ne serait-il pas le moment de se rapprocher des utilisateurs et de leurs problématiques terrain ? Voir comment ils travaillent, leurs difficultés opérationnelles ? En quoi la situation actuelle impacte leur activité ? Comment les aider dans ce contexte ?

En réfléchissant avec eux, à partir de leur quotidien (“vis ma vie de …”), vous trouverez surement des pistes d’amélioration. Vous pourrez alors co-construire des solutions simples, pragmatiques, qui respectent votre politique IT (référentiels documentaires, espaces collaboratifs, meilleur accès aux données, petits outillages).

Au passage, vous pouvez récupérer et professionnaliser du Shadow IT :

  • Dépanner des macros ou autres petits outils (parfois très précieux)
  • Webiser des Excelleries pour en faire des outils collaboratifs (planning, suivi de production, devis …)
  • Interfacer – automatiser l’alimentation de données (éviter les ressaisies)
  • Mutualiser et globaliser les applications redondantes
  • … voire même supprimer les applications obsolètes

Cette démarche présente plusieurs avantages : cartographier ce SI complémentaire, nourrir vos réflexions pour les futurs projets en y associant dès à présent les équipes métiers.

Ces quick wins sont aussi le moyen de créer de la satisfaction utilisateurs, de (re)tisser des liens avec eux, et de construire de la cohésion.

Et ça, il me semble qu’on en a tous besoin. Pour illustrer ces propos, nous avons choisi deux témoignages clients.

Retrouvez les témoignages ici !

  • M. Duprez – KEM ONE LIRE

Maxime Duprez nous connaît depuis longtemps. Ex DSI de Comap, il nous avait alors confié quelques projets spécifiques, mais aussi la migration (et fiabilisation) d’outils Access développés par les métiers. Aujourd’hui DSI de Kem One, il décrit ici notre prise en maintenance d’un outil développé par le site de Lavéra pour gérer « les Grands Arrêts ».

  • S. Caumes – Prestataire ALTEN chez SYNGENTA LIRE

En tant que prestataire, Sébastien Caumes a été missionné pendant trois ans par Syngenta pour gérer ses applications métier : faciliter les relations entre les équipes utilisateur et Désirade.

Il témoigne globalement de cette collaboration : outils et démarches mis en œuvre et surtout l’esprit de service de l’équipe Désirade vis-à-vis de ses clients chez Syngenta.

 

Small Apps et … Projets à distance

A Désirade, nous disons que notre offre Small Apps permet de professionnaliser l’informatique de proximité. En effet, les grands logiciels de gestion répondent à l’essentiel des besoins de l’entreprise, mais ne vont pas jusqu’aux particularités locales. Les ingénieurs et managers de nos clients voient régulièrement des pistes d’optimisations, des besoins complémentaires à ces grands logiciels et cherchent à y apporter des solutions.

Jusque récemment, nous associions cette proximité à une notion de territoire, à Toulouse et Lyon. Notre équipe lyonnaise à pourtant collaboré avec Stäubli (Annecy), avec Schneider Electric (Aubenas) dont la proximité géographique avec nos locaux de Gerland reste discutable.

Et puis il y a eu le confinement : empêchés de rencontrer nos clients, réduits aux outils collaboratifs (Merci Teams, Klaxoon !), nous avons continué à avancer et ça a bien fonctionné.

Le déclic était venu un an avant, de Dopharma, de ce projet difficile mais réussi sans aucune rencontre physique (voir le témoignage ici).

Nous en avons parlé en interne et avec les clients ; il en ressort que la proximité, c’est plus un état d’esprit que de la géographie.

C’est déjà  installer un « langage commun », dépasser l’informatique pour aller vers le métier de l’autre : réaliser que le projet n’est pas que « programmer », c’est surtout bâtir un outil pour faciliter/améliorer le travail de personnes.

La proximité c’est alors : s’intéresser à eux, leur poser des questions, proposer des solutions, vulgariser les points techniques, accepter les critiques, se rendre disponible…

Le client voit que l’on cherche à l’aider, lui rendre service, alors la confiance démarre.

La proximité, c’est aussi de l’humain. Nous collaborons avec des gens pour imaginer et bâtir leur outil. De nos témoignages clients, il ressort de l’émotion : « on cherche ensemble, on surmonte les obstacles ensemble » ; « Nous apprécions aussi son dévouement, sa volonté de rendre service »…

Parce qu’à un moment donné, on a fait un effort supplémentaire, on a donné de soi, on a créé en face une émotion positive, une reconnaissance. Cela tisse le lien et permet d’aller plus loin.

Bien sûr, tout cela n’est rien sans professionnalisme, sans rigueur, sans technicité. Ce socle de compétence est nécessaire. Mais le service est meilleur quand nous dépassons les process pour nous approcher de nos clients.

Cette proximité, nous l’entretenons en associant à chaque client un référent client. Le référent est le contact privilégié du client chez nous ; il s’imprègne de son métier et de sa culture et les transmet à l’intervenant Désirade. Il s’assure du niveau de service (qualité, réactivité, flexibilité) et s’inscrit dans une démarche de progrès avec son client (propositions d’amélioration). Cette dynamique est d’autant plus riche que nos référents sont stables à Désirade.

Alors oui, la proximité c’est un état d’esprit. Elle découle naturellement de nos fondamentaux : « rendre service à nos clients » et « avancer en équipe ».

Elle est régulièrement impulsée par nos anciens vers les juniors pour être vécue avec nos clients.

Retrouvez les témoignages clients ici !
  • L. Bertin – Dopharma – Gestion des informations réglementaires des produits mis sur le marché LIRE 
  • P. Moille – Nicomatic – Prise en maintenance d’applications MES – LIRE

 

Small Apps et … Planning

Nous gérons tous des activités avec des dates : de la simple gestion d’actions, au Plan Directeur de Production, en passant par les plannings d’astreinte…  

Encore aujourd’hui, cela démarre avec Excel ; certains l’améliorent avec du visuel, le complètent avec des macros pour traiter les spécificités métier. 

Si le résultat est pertinent, l’outil se répand et devient vite nécessaire mais reste fragile. Il faut alors professionnaliser et le choix devient difficile :   

  • Acheter un progiciel, parfois complexe en fonction de sa richesse (les deux vont souvent ensemble); il faut alors faire “rentrer le besoin dans l’outil” 
  • Développer un spécifique : coûteux, et ne garantit même pas l’adhésion d’utilisateurs habitués à Excel. 

Cette problématique, nous la rencontrons souvent chez nos clients et nos Small Apps sont très appréciées : 

  • Développement spécifique pour coller au métier  
  • Dans une démarche pragmatique où nous imaginons avec les utilisateurs, leur solution. 
  • En s’appuyant sur notre framework Corail et notamment les composants calendrier”. 

 

Cela donne des projets très populaires, car pour un coût modéré, les clients obtiennent rapidement un outil visuel, intuitif et pratique. 

 

C’est le sujet que nous souhaitons partager avec vous aujourd’hui, avec des exemples sur le Planning d’Équipe et le Plan de Charge et ainsi que des retours d’expérience variés de Thales Alenia Space et Stäubli. Merci à eux pour leur collaboration. 

Bons plannings à vous ! 

  • M. Hagnier  – Staubli – Gestion de prêts de robots – LIRE
  • C. Valentinotti, E. Bousquet & D. Darnaudet – Thales Alenia Space – Planning de specs – LIRE

Planning d’équipe

Les activités de support, de sécurité, d’accueil, ont besoin d’outils de planning d’équipe, pour planifier l’affectation des agents, faciliter les remplacements et éviter les manques.

Le service Support d’un de nos grands clients, qui compte plusieurs équipes, nous a sollicité sur ce sujet. Il devenait nécessaire de remplacer leurs solutions Excel locales, par un outil global, permettant entre autres d’homogénéiser les pratiques et de donner de la visibilité (plannings partagés). La particularité de leur activité les orientait vers le spécifique plutôt que le progiciel.

Le client a apprécié notre implication dans son métier, notre capacité à imaginer avec lui un outil visuel, pratique et customisé (à travers ateliers et prototypes).

Le résultat a beaucoup plu : une application web combinant calendrier graphique et règles métier.

Par la suite, d’autres services nous ont commandé ce même outil, avec le même visuel et leurs règles métier spécifiques. À chaque fois, l’adhésion des utilisateurs a été immédiate.

Confrontés nous-mêmes à cette problématique, nous le préférons aussi à un progiciel, en l’adaptant à notre besoin, en liaison avec le plan de charges.


Plan de Charges

Le Plan de Charges concerne toutes les entreprises de prestations (conseils, services…) :

  • À court terme : pour l’affectation des collaborateurs aux missions
  • De façon plus macro, pour gérer une vision moyen terme de la charge : très précieux pour les entreprises qui ont peu de visibilité

Désirade avait un outil Excel pour gérer cette vision macro, permettant de décider des embauches. Pertinent jusqu’à 20 collaborateurs, l’outil est devenu inexploitable avec la croissance de l’entreprise. Par ailleurs, la visibilité sur les projets en portefeuille n’est plus détenue par une seule personne.

Nous avons donc « webisé » notre plan de charges, ici aussi, en combinant visuel du calendrier et règles de gestion :

  • Décaler un projet de 3 semaines, ce qui décale toute l’équipe
  • Calculs de besoins de ressources (entre les projets et les collaborateurs non affectés)

Ici aussi, un de nos points forts est le Framework Corail et nos composants « calendrier » qui facilitent le développement de plannings graphiques, très lisibles.

Cet outil est devenu un élément clé de notre management collaboratif :

  • La vision du prévisionnel de Désirade devient la consolidation de la vision des référents, chacun sur sa clientèle
  • Sa facilité d’utilisation en fait un outil « live » du CoDir (notamment en télétravail)

Il inspire nos clients et déclenche de nouveaux projets customisés à leur contexte.

 

Désirade aussi a “Webisé” ses plannings: ici notre plan de charge collaboratif pour piloter l’activité.